De 1996 à 2005 …
j’ai exercé un élevage passion de chats persans chocolat et lilas sous l’affixe Choco’land
Juil 18
De 1996 à 2005 …
j’ai exercé un élevage passion de chats persans chocolat et lilas sous l’affixe Choco’land
Juil 17
Qui peut dire que son « enfant intérieur » a toujours été heureux ?
Dans cet article je vais vous expliquer pourquoi j’ai décidé de suivre une formation destinée à « guérir » de son passé …
Tout enfant aime ses parents .. du moins au début, tant qu’il n’a pas la conscience d’avoir été un enfant maltraité .. et même là il arrive souvent qu’une maltraitance (psychologique ou physique) n’empêche pas cet enfant d’aimer quand même ses parents !
Dans mon cas, ma mère et mon père ont été à la fois des personnes bienveillantes et des personnes toxiques.
A l’époque où j’étais enfant j’étais en totale dépendance affective de mes parents …
L’éducation reçue n’a pas été mauvaise. De mes parents j’ai hérité d’une certaine intelligence et d’une scolarisation qui m’a permis d’exploiter cette « intelligence » d’origine dont je ne suis pas « responsable ». C’est une chance d’avoir pu faire des études .. d’être une personne instruite. Je ne suis pas née dans un ghetto ou dans un pays en voie de développement. On peut dire que je n’ai manqué de rien .. de rien sauf de l’indispensable à mes yeux : d’amour !
Oui … même si mes parents ont aimé avoir trois enfants, je n’ai jamais sentie qu’on avait été conçues pour nous …
Je devais correspondre à ce que ma mère voulait que je sois : une enfant quasi « parfaite ». Il ne fallait surtout pas faire de « caprices » à l’extérieur. J’étais en quelque sorte opprimée dans ma spontanéïté.
Un jour vers 5 ans ma mère m’a reçue avec une gifle lorsque j’avais couru vers elle pour lui sauter dans les bras .. tout ça car je lui avait fait mal au dos en lui sautant dans les bras !
A partir de ce jour là j’ai compris que mon amour pouvait faire mal et n’être pas toujours bien reçu …
Assez rapidement, mes émotions se sont exprimés par mon corps à travers des troubles fonctionnels digestifs : colopathie fonctionnelle à type de maux d’estomac lors de la digestion et gastroparésie (ralentissement de la vidange gastrique).
Mon corps a exprimé mon mal aise … ce mal aise que je ne savais dire par des mots.
Et puis il y a eu mon grand-père .. jusqu’à l’âge de 12 ans, il été la personne qui m’accordait le plus d’attention et de tendresse. A sa mort, je me suis sentie abandonné et en carence affective. Même s’il avait eu des gestes déplacés à mon égard, qu’il m’avait embrassé comme une femme et non comme une petite fille, j’étais alors totalement sous son emprise. Il ne pouvait pas en être autrement vu mon état de manque d’amour et de considération.
Avec mes parents j’avais souvent l’impression de déranger et de ne pas être l’enfant qu’ils voulaient …
Maintenant, j’ai 52 ans et ce passé est pourtant toujours présent en moi …
Quand ma mère est décédée en 2016, elle m’a laissé seule avec mon père âgé et handicapé (suite à un grave accident de deltaplane intervenu en 1990). J’étais aidante familiale depuis mes 21 ans ..
Grâce à moi ma mère avait pu continuer de travailler … car j’avais pris la relève à la maison pour m’occuper de mon père traumatisé crânien.
Afin de m’aider au quotidien, deux aides de vie sont intervenues à la maison. Au début j’avais bien du mal à accepter cette présence extérieure .. trop habituée à vivre en autarcie avec mes parents.
Ma mère avait fait le ménage autour de moi .. malgré elle ?
A 24 ans je devais me marier à Ludovic .. mais j’étais si mal … la SEP était déjà là sans qu’on ne le sache !
Un jour j’ai confié à mon médecin les abus sexuels incestueux .. il m’a conseillé une thérapie propice pour résoudre les traumatismes passés.
J’ai réussi à reprendre 10 kilos de septembre à mars 2021, mais j’ai perdu 6 kilos après la pose de 9 implants dentaires (fin mai 2021) et l’extraction de mes dernières molaires. A ce jour, il me reste encore 2 mois à « tenir » sans molaire et pré-molaires …
Mon estomac me brûle souvent et mon transit intestinal est très ralenti et me fait vivre des épisodes de constipation et diarrhées (syndrome du colon irritable).
Je viens de souscrire à une formation conçue par un hypnotiseur et youtubeur sur le thème de la guérison de son enfant intérieur.
Parce que je souhaite pouvoir en finir une bonne fois pour toutes avec ces divers maux d’estomac et ce poids fluctuant au gré de mon état émotionnel !
Si cela vous intéresse, je vous invite à me suivre dans ce cheminement vers la guérison de mon enfant intérieur.
Je ne vais pas vous partager la formation mais vous montrer comment je vais l’appliquer à mon cas personnel !
Et si cela vous tente vous pourrez également essayer de l’appliquer à vous même !
A bientôt !
Chrystèle
Envie de me suivre et / ou d’être aidé pour vous aussi faire ce chemin vers la guérison de votre passé ?
Cliquez sur l’image ci-dessous ..
Juil 14
Aujourd’hui est un grand jour !
J’ai décidé d’oser vous proposer mes services de …
Alors n’hésitez pas à me faire part de votre problème ou demande ..
Par exemple, vous rêvez depuis longtemps de faire peindre votre animal adoré … n’hésitez plus !!!!!!!!!!!
Je vous dirais si je me sens capable ou non de faire le portrait de votre chat ou de votre chien au dessin et à l’aquarelle
Et devinez quoi …
j’offre ces services gratuitement !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pour ceux ou celles qui voudront me remercier, notamment pour le travail passé, il sera possible de passer par une « donation » paypal via un lien présent sur le blog.
Actuellement, je prépare un livre numérique pour apprendre l’aquarelle aux enfants …
Le titre est « Avec mon (mes) enfant (s) – Partie I : je découvre l’aquarelle«
Juil 04
Il y a SEP et SEP !
On ne peut pas comparer la vie avec cette maladie de forme bénigne d’une vie avec une SEP sévère ou d’emblée progressive.
Dans ce type de SEP, il existe des périodes de survenue ou de re-apparition de troubles neurologiques, durant plus de 24 heures, tels que des troubles de la sensibilité ou des troubles visuels.
Une fois la crise passée, appelée « poussée », la personne malade chronique connait une période plus ou moins longue de rémission.
80% des SEPiens ou SEPiennes connaissent cette forme de SEP.
La fatigue chronique est un trouble fréquemment ressentie par les personnes touchées par la sclérose en plaques : environ 80% voire plus …
Ce trouble peut devenir très invalidant pour certaines personnes, surtout lorsque l’entourage ne comprend pas ce que ressent le ou la malade. Certains malades se font même traités de paresseux ou bien de trop s’écouter !
Ce type de SEP peut très vite nous amener vers une certaine forme de solitude …
Comment sortir quand on est souvent à la fois fatiguée et à mobilité réduite avec besoin d’aide humaine ou d’outils techniques pour se déplacer ?
Officiellement, il semble que non.
Pourtant, si on interroge les personnes qui en sont atteintes il apparaît que pour beaucoup d’entre elles la douleur soit présente.
Je vous parle d’une douleur bien spécifique : la douleur neuropathique. Il s’agit d’une douleur pouvant aller d’un simple trouble de la sensibilité à des douleurs vives ressenties comme du courant électrique qui nous traverserait le corps. Chez moi, il s’agit de douleurs de types brûlures ou impression d’avoir du courant électrique qui circule dans les jambes et jusqu’au bout des pieds.
Et vous ?
Comment vivez-vous avec cette maladie ?
Juin 20
Pourquoi un tel pessimisme Chrystèle ?
Toi qui nous avais habitué à tes vidéos pleines d’humour sur la maladie .. que t’arrive-t-il donc ?!
Revenons au tout début de l’histoire de ma vie ..
« Vous n’avez rien ! C’est dans la tête .. »
C’est ce que j’ai entendu depuis l’enfance jusqu’à mes 38 ans !
Fatigue chronique, paresthésie dans les mains, vertiges temporaires (qui sont passés comme ils sont apparus !), troubles visuels (névrites optiques cachées par mon fort astigmatisme !)
Et ceci depuis l’année du décès de mon grand père (1982)
Quelques souvenirs impactants :
.. et aussi d’entendre conneries sur conneries :))
Parce que je ne vous raconte pas le nombre de cures de magnésium que j’ai pu faire et de choses que j’ai pu entendre dire :))
En 2007, l’annonce a été vécue comme un certain soulagement car enfin je n’avais plus à me battre pour me faire entendre .. auprès des médecins mais aussi auprès de mes proches qui ne comprenaient pas mon comportement !
Tu sais maman, il faut lui donner un coup de pied aux fesses !
Chrystèle s’écoute trop …
Dès lors, le conseil des médecins était de ne surtout pas attendre pour me faire soigner !
Urgence ?! Mais comment osez-vous dire cela alors que ça fait des années que je tente d’alerter sur mon état de santé ?
Je prenais conscience que c’était donc la sclérose en plaques avec qui je partageais ma vie (sans le savoir !) depuis des années ! Maintenant,je savais .. c’était ça le plus important pour moi !
Pourquoi parler d’urgence ?
La maladie je la connais déjà … je sais enfin le nom qu’elle porte ! Attendez un peu avant de vouloir me faire subir un traitement de cheval (bolus de cortisone) et des injections chaque jour !
Un jour de 2008, à l’occasion d’une conférence organisée par l’APF, je croise un neurologue spécialisé dans la SEP !
Consultation prise … j’apprends que je serais atteinte par une forme bénigne de SEP car il me reconnaissait comme point de départ autour de mes 12 ans avec pour 1er signe de la SEP une fatigue chronique !
Alors si on considérait que j’étais encore debout sans pb moteurs, ma SEP pouvait être dite « bénigne » !
Et comme je n’étais pas prête à me faire faire une injection de « Copaxone » chaque jour (traitement de fond alors recommandé par les neurologues consultés), il était décidé qu’il n’y avait pas d’urgence thérapeutique à me faire suivre un traitement de fond (destiné à réduire la fréquence des poussées).
Sauf que c’était ne pas voir qu’elle entrait tout doucement dans une forme secondaire progressive …
Tout dépendait de savoir si on voyait e verre à moitié plein ou à moitié vide !
Cette décision a été remise en cause, dès 2010, soit 3 ans après l’annonce du diagnostic de SEP, suite aux poussées auxquelles je devais faire face chaque 10 moi !
Le 10 mai 2010, j’ai débuté le traitement de fond …
Mais j’étais déjà en train de passer en SEP secondaire progressive .. puisqu’entre chaque poussée mon état empirait. Je gardais des séquelles de chaque poussée annuelle … jusqu’à finir par ne plus du tout en faire et pour autant me voir marcher de moins en moins bien …
En 2014, la SEP secondaire progressive m’a été reconnue et annoncée.
Sur le moment, j’ai pensé : « chouette ! Plus de poussées à venir ! » ..
Mais c’était oublier ceci : « pas forcément plus jamais de « poussée » » et surtout « plus jamais de rémission » !
Et ça c’était beaucoup moins sympa ! Car cela voulait signifier une évolution vers le handicap … et la perte d’autonomie.
Pour la 1ère fois, ma SEP se voyait ! Je souffrais de troubles moteurs (difficultés à la marche et pour rester debout, faiblesse musculaire) …
Moi qui avais cherché à faire voir mes troubles .. là je n’en avais plus besoin !
Durant la phase de transition entre les deux SEP j’avais le problème d’être valide en apparence (une jeune femme valide qui réclamait une place d’handicapée !), alors que mon corps était en souffrance très souvent. Et je ne vous parle même pas des « handicaps invisibles » qui restent inconnus si on n’en parle pas !
Alors dorénavant je n’ai plus à montrer que je sui à mobilité réduite ?*
Je n’ai plus à expliquer pourquoi je demande à ne pas faire la queue au magasin quand je dois passer devant une personne âgée ?
Je ne vais plus me faire crier dessus ou bien devoir justifier de ma qualité de personne handicapée ?!
Oui, maintenant on me propose même parfois de l’aide … Oh, je n’en ai pas l’habitude ! Cela me grènerait presque, autant d’égard !
Mais finalement on s’y fait assez vite à accepter de l’aide de la part des autres car on en a vraiment besoin !
En 2014 et durant les années suivantes, j’ai demandé à pouvoir continuer à bénéficier du même traitement immunomodulateur, à savoir « la Copaxone » (acétate de glatiramère), afin d’éviter le risque de poussée, qui même si devenu très faible restait possible.
En juillet 2015, ma mère a commencé à ne plus pouvoir s’exprimer normalement. La piste d’un AVC a fini par être écartée et c’était elle aussi d’une sclérose dont ma mère souffrait elle aussi : une sclérose latérale amyotrophique ou aussi appelée maladie de Charcot, du nom du neurologue qui l’a découverte.
En décembre 2015, l’assistante sociale du CHU de Montpellier avait permis à mes parents et à moi-même de bénéficier de l’intervention d’aides de vie, car il n’était plus possible de continuer à vivre en autarcie comme mes parents et moi le faisions jusqu’alors !
En février 2016, ma mère est décédée .. nous laissant seuls mon père (handicapé suite à un grave accident de deltaplane datant de 1990) et moi.
Je me suis occupée de mon père durant 3 années, jusqu’à ce que le corps médical me conseille de renoncer à la curatelle de mon père et de lui trouver une place dans une maison de retraite médicalisée.
Je dois dire que cela m’avait à la fois soulagée (car notre état de santé rendait la vie commune difficile !) et attristée (rester seule dans cette grande maison bien chargée de souvenirs …). Mais le fait que mon père se soit bien adapté à sa nouvelle vie me permet de dire que c’était la solution à prendre !
Depuis, j’apprends à gérer ma vie autrement …
Déjà, j’ai mis beaucoup de temps avant de trouver un nouveau lieu de vie, cette grande maison n’étant pas du tout adaptée pour une personne seule et non valide ! En principe, début 2023, je déménage dans un F3 se trouvant dans le même quartier à Montpellier ! A la différence : ce sera un logement neuf et adapté aux personnes à mobilité réduite !
Côté tâches du quotidien, je dois toujours faire appel à des aides de vie. Là aussi ce n’est pas évident ! Surtout quand on a été habituée à vivre « en autarcie » avec sa mère depuis des années ! Ma mère supportait difficilement de devoir faire appel à de l’aide extérieure ! Là moi j’ai du m’habituer à être aidée à mon domicile par des inconnus. Bien sûr qu’avec le temps des relations peuvent se créer … Le hic c’est quand on est un « employeur particulier » qui souhaite se départir d’un de ses employés et que cette personne refuse ! C’est ainsi qu’en 2021, je me suis faite condamnée pour licenciement abusif aux Prud’hommes. Pourtant j’avais fait appel à une avocate pour procéder au licenciement, afin d’éviter un tel risque ! Je n’en durais pas plus sur ce dfférend mais j’en garde un goùt amer .. celui d’avoir mal choisie mon conseiller … et d’avoir été forcée par la « justice » à verser 2400 et qq euros à ma précédente salariée.
Une vie de personne atteinte d’une maladie neuro-dégénérative nécessite de devoir bien s’entourer !
Dans le secteur du handicap et de la perte d’autonomie, le risque est de tomber sur une personne malveillante ou simplement qui profite de la situation …
Par chance, on trouve aussi des gens très bien .. qui ont la vocation.
Juin 16
L’aquarelle, que j’ai découverte depuis toute petite grâce à ma mère, est devenue une passion depuis le 1er confinement !
J’ai décidé de vous en faire profiter 🙂
Promis : les aquarelles arrivent bientôt, pour illustrer cet article !
Selon Marie (j’ai suivi son excellente formation sur les paysages !), il existe 3 types de reflets :
Le 1er reflet est le plus simple à réaliser.
Le dernier reflet permet de donner le mouvement des vagues en détails.
On travaille mouillé sur sec avec un gros pinceau rond !
Pour le choix des couleurs :
Pour le reflet miroir, on procède ainsi :
On commence par mouiller le papier avec un pinceau brosse. Puis, on choisit des couleurs du ciel : jaune près de l’horizon.
Pour les autres couleurs, on reprend celles choisies pour l’élément réfléchi. Par exemple : vert et orange dans le cas d’arbres.
Puis ne surtout pas intervenir dans la fusion des couleurs ! On « laisse vivre » sa peinture !
Ensuite, on rince et essuie son pinceau au moins deux fois, avant d’aller le passer en dessous de l’élément réfléchi dans l’eau !
On rince et on essuie à nouveau .. plusieurs fois, et ce, sur toute la longueur.
Maintenant, une super technique proposée par Marie : on prend un bout de carton ou bien une règle que l’on entoure d’un chiffon coton et on le dépose par acoups sur le papier côté eau, pour donner l’impression de reflets lumineux dans l’eau !
Avec un pinceau fin et l’un des pigments choisis pour peindre le reflet, on peins juste en dessous de chaque trait blanc précédemment obtenu, afin de les souligner un peu.
Ici, on peut poser du masqueur pour cacher l’élément de 1er plan (par exemple des roches), avant de mouiller le papier à l’aide de son pinceau brosse.
Comme dans le cas précédent, on pose du jaune à l’horizon et du bleu en 1er plan pour donner l’impression du ciel en reflet sur l’eau. On peut ajouter ensuite quelques touches de couleurs. Puis on fait sécher !
On retourne son papier afin de pouvoir ensuite reprendre son pinceau avec une couleur du ciel (bleu indigo par exemple), qui est plus foncée que précédemment (avant on a remis un peu d’eau sur le papier).
On applique des ondes sur la partie du 1er plan (le papier a été remis droit !), avec son pinceau rincé et séché pour permettre le retrait de pigment sur les zones choisies. Plus on s’éloigne du 1er plan et plus les ondes sont droites.
On souligne les traits lumineux.
Maintenant on retire le fluide masqueur et on appose du pigment sur les rochers de 1er plan? Pour les couleurs, on commence par peindre le reflet bleu sur la roche posée dans l’eau, sur le bas. Puis un dégradé marron-gris ! On laisse un peu de blanc sur le haut des rochers et entre les rochers. Puis on sèche. On ajoute une ombre marron foncé au-dessus de chaque roche.
Une aquarelle de ma mère réalisée lors d’un atelier
Juin 13
L’an dernier, j’ai sauté le pas en proposant mon manuscrit aux éditions Sydney Laurent.
C’est une expérience à faire …
Jusqu’à présent, je publiais mes livres et ebook/kindles en auto-édition en utilisant le site Amazon.
Ce lien est un lien affilié, qui peut m’aider à maintenir ce blog.
Pour vous, ça ne coûtera pas plus cher !